L’enquête Croyances et Réalités 2 (2021), faisant suite aux travaux de l’enquête Croyances et Réalités 1 (2015), a permis d’identifier les étapes du parcours de soins des patientes atteintes de cancer du sein métastatique et de suivre l’évolution de la prise en charge des patientes depuis 6 ans.

Cette enquête a été initiée par Pfizer, développée et analysée par A plus A. 

Comité scientifique : Jean-Sébastien Frenel (Oncologue, Institut de Cancérologie de l’Ouest, Saint-Herblain) Séverine Guiu (Oncologue, Institution régional du Cancer, Montpellier), Laure Gueroult-Accolas (Association Patients en Réseau), Dominique Debiais et Nicole Zernik (Association Europa Donna), Claudia Lefeuvre-Plesse (Oncologue, Centre Eugène Marquis, Rennes), Isabelle Moley-Massol (Psycho-oncologue, Hôpital Cochin Paris).

• ANALYSER le vécu de la maladie, de ses traitements
   
• ÉTUDIER le retentissement de la maladie et de ses traitements sur la vie quotidienne
   
• ÉTUDIER la relation avec les soignants, médecins
   
• FAIRE APPARAÎTRE des manques, des lacunes, des attentes
   
• ÉVALUER l’intérêt, la pertinence de certaines actions qui pourraient être mises en place pour aider à mieux prendre en charge la maladie et ses traitements. 

Cette enquête est une étude miroir patientes – médecins. Les médecins devaient remettre un questionnaire à compléter par plusieurs de leurs patientes atteintes d’un cancer du sein métastatique au fur et à mesure de leurs consultations – sans critère de sélection des patientes. En parallèle, ces médecins devaient remplir eux-mêmes leur propre questionnaire intégrant une fiche cas patiente pour chacune des patientes à qui ils ont transmis un questionnaire.

Les 57 médecins qui ont répondu à l'étude sont :

• 77% des oncologues, 18% des radiothérapeutes et 4% des gynécologues
   
• 67% d’exercice public, 26% d'exercice privé et 4% sont mixtes 

Parmi les 269 patientes ayant participé :

• 56% étaient retraitées, 31% en arrêt de travail et 12% en activité
   
• 54% étaient en couple, 24% célibataires et 22% vivaient en famille