Ce site est destiné uniquement aux professionnels de santé exerçant en France
Menu
Close
Le service d’information médicale Pfizer est joignable de 9h à 18h au 01 58 07 34 40, ou via l’assistant virtuel & tchat en ligne, ainsi que sur le site internet
Vous avez la possibilité de déclarer un évènement indésirable en fin de page
Menu
Close
Depuis la mise en place de la première campagne vaccinale anti-COVID-19, les autorités de santé, les sociétés savantes et autres Académies nationales dénoncent les idées reçues qui circulent au sein de l’opinion publique concernant les vaccins utilisant la technologie ARNm.(1)
Il est important de rappeler que ces contre-vérités ne s’appuient sur aucune donnée scientifique, mais leur large diffusion, notamment via les réseaux sociaux, entretient le doute et la confusion auprès de la population et égare le public qui attend des données fiables sur la vaccination contre la COVID-19.(1)
Cette désinformation joue un rôle délétère sur la dynamique des campagnes nationales de vaccination anti-COVID-19, favorisant ainsi la propagation de la maladie.(1)
Pour lutter contre ce fléau et informer la population avec des données scientifiques et médicales justes, claires et précises sur les vaccins anti-COVID-19 utilisant la technologie ARNm, nous mettons à votre disposition un algorithme sur les principales idées reçues concernant les vaccins à ARNm et les arguments qui y sont associés.
Parce que mettre un terme aux idées reçues contribue aussi à promouvoir la santé publique !
... qu’il/elle n’est pas concerné(e) par la vaccination utilisant l’ARNm...
La vaccination anti-COVID-19 est recommandée chez les populations les plus à risque de développer une forme sévère de la maladie, qui sont :
Néanmoins, pour les personnes ne présentant pas de risque de développer une forme sévère de la COVID-19, mais désirant se faire vacciner, il est tout à fait possible de réaliser une vaccination anti-COVID-19.(2)
Les vaccins à ARNm présentent certains avantages, dont la possibilité d’être :(1,3)
Par ailleurs, le développement de nombreuses stratégies thérapeutiques contre le cancer, les maladies auto-immunes et inflammatoires, les maladies génétiques héréditaires utilisant la technologie à ARNm sont en cours de développement préclinique et clinique.(4)
… que les vaccins à ARNm ne présentent pas de bénéfices pour la santé...
Les vaccins permettent à l’organisme de réagir en cas d’infection. Il est possible d’être infecté par le SARS-CoV-2 et de développer des symptômes, mais le risque de subir une forme grave de la maladie est réduit.(2)
Les vaccins à ARNm induisent une protection contre les formes symptomatiques de la COVID-19 et contre les formes sévères de la maladie.(1) Aussi, ils réduisent la transmission virale en diminuant le nombre de jours d’excrétion du virus chez les personnes infectées.(3)
Aujourd’hui, les doses administrées se comptent en milliard et les bénéfices des vaccins à ARNm ont été confirmés par des études épidémiologiques en vie réelle et par la pharmacovigilance.(1)
Tout le processus de développement des vaccins anti-COVID-19 a été une priorité à l’échelle mondiale. Plus de 100 groupes de recherche ont travaillé ensemble et ont partagé leurs résultats.(5)
Les vaccins à ARNm ont fait l’objet d’un développement pharmaceutique et d’essais cliniques réalisés selon les bonnes pratiques pour leur mise sur le marché et ont été ensuite validés dans des procédures d’urgence face à la pandémie de la COVID-19 par les autorités de santé en Europe et aux Etats-Unis.(1)
Les personnes ayant reçu le vaccin peuvent ressentir des effets indésirables, comme pour tous les autres vaccins. Les effets indésirables les plus fréquents sont des douleurs au site d'injection et de la fatigue, des frissons, des diarrhées, des maux de tête, de la fièvre ou des douleurs musculaires. Ces effets indésirables sont légers et ne durent que quelques jours.(5,6)
Aujourd’hui, avec plus de 154 millions de doses injectées en France, la plupart des effets secondaires fréquents liés aux vaccins anti-COVID-19 sont connus.(7,8)
Certains effets secondaires graves ou plus durables sont possibles, mais ils restent rares (< 1 cas/100 000 injections). Les effets secondaires concernés sont des cas d’hypertension artérielle, de myocardites ou de péricardites. La survenue d’effets secondaires est surveillée en permanence par les autorités nationales de santé.(6,7)
L’ARNm fut découvert en 1961, à l’issue d’un travail collaboratif entre des chercheurs français et américains.(9)
Les scientifiques et les industriels ont élaboré et amélioré depuis plus de 60 ans la technologie des plateformes à ARNm qui s’est avérée très efficace pour la vaccination contre la COVID-19.(1)
La technologie ARNm a fait l’objet d’améliorations continues, qui ont largement contribué à sa sûreté. Des vaccins à ARN ont été testés chez l’homme contre le virus Zika, la grippe, la rage, le CMV, avec environ 600 participants inclus dans ces essais. Les vaccins à ARNm contre le SARS-CoV-2 ont été évalués dans les essais de phase III sur des dizaines de milliers de patients, ont obtenu une AMM et ont déjà été injectés à plusieurs millions de personnes depuis le début des campagnes de vaccination en fin décembre 2020, début 2021.(10)
Pour les femmes enceintes, le risque de complications cardiorespiratoires liées à la COVID-19 est plus élevé en raison d’une sollicitation plus importante du cœur et des poumons.
En France, plusieurs 100aines de milliers de femmes enceintes ont été vaccinées avec un vaccin à ARNm et peu d’effets indésirables ont été recensés.(11)
Aujourd’hui, il est recommandé aux femmes enceintes d’être vaccinées contre la COVID-19 dès le 1er trimestre de grossesse.(12)
La HAS recommande ainsi de faire une injection du vaccin dans les 6 mois qui suivent la dernière dose ou infection pour être protégé contre une éventuelle infection. Cette durée est réduite à 3 mois pour les personnes âgées de 80 ans ou plus et les personnes les plus vulnérable. Cette recommandation s"applique quel que soit le nombre de rappels précédents de la personne, lorsque la vaccination est possible et recommandée. (12,14)
L’ARNm vaccinal n’est pas un OGM et cette technologie n’est pas considérée comme une thérapie génique.(3)
L’ARNm ne peut pas être en contact avec l’ADN qui se trouve dans le compartiment nucléaire de la cellule. Il reste dans le cytoplasme et est détruit en quelques minutes après sa traduction en protéine vaccinale.(1,5)
Pour pénétrer dans le noyau cellulaire, les molécules présentes dans le cytoplasme doivent être porteuses d’une séquence spécifique d’adressage vers ce compartiment cellulaire, ce dont ne disposent pas les ARNm des vaccins.(3)
De plus et au même titre que les ARNm physiologiques (produits naturellement par l’organisme), l’ARNm vaccinal ne s’intègre pas dans le génome humain.(1)
Plusieurs études montrent que les vaccins n’ont pas affecté la fertilité des couples vaccinés.(5)
Les vaccins contiennent des composants garantissant leur sécurité et leur efficacité. Ces composants, pour la plupart, sont utilisés depuis des 10aines d’années dans des milliards de doses de vaccins et se trouvent à l’état naturel dans le corps, dans les aliments ingérés et dans l’environnement qui nous entoure. Chaque composant d'un vaccin a une fonction précise et tous ces composants sont testés au cours du processus de fabrication pour garantir leur innocuité.(6,15)
Ces composants sont :
Les conservateurs, les stabilisateurs (ex : sucres, acides aminés, gélatine et protéines), les surfactants, des substances résiduelles (ex : protéines d’oeuf, levures, antibiotiques sous forme de trace résiduelle), des diluants (le plus courant étant l’eau stérile) et des adjuvants (sels d’aluminium en quantité infime).(15)
Pour informer votre patient sur la technologie ARNm et mettre fin aux idées reçues qui y sont associées au sein de l’opinion publique, téléchargez la fiche que nous mettons à votre disposition.
PP-UNP-FRA-3292
Pfizer, Société par actions simplifiée au capital de 47.570 €. Siège Social 23-25 avenue du Docteur Lannelongue - 75014 Paris - 433 623 550 RCS Paris.
SIREN 433 623 550. SIRET 433 623 550 00020. N° TVA Intra-communautaire FR 73 433 623 550. Locataire-gérant de Pfizer Holding France.
Réf PP-UNP-FRA-3290 -Page mise à jour le XX/XX/2024
Pour déclarer un évènement indésirable relatif à un médicament ou produit Pfizer, veuillez contacter le département de pharmacovigilance
Pour accéder aux documents, ressources et recevoir des informations sur les médicaments promus par Pfizer.
Ce site est destiné uniquement aux professionnels de santé résident en France
Copyright © Pfizer. Tous droits réservés
PP-UNP-FRA-0367
Je confirme que je suis un professionnel de santé exerçant en France.
Si vous sélectionnez "Non", vous serez redirigé vers notre site www.pfizer.fr